"Enlève de ta tête le mot botar" : Un Cubain divertit avec une parodie sur la mentalité du nouvel arrivant aux États-Unis.

Le créateur de contenu sur TikTok, Lil Lemon (@lillemon_oficial), a de nouveau captivé le réseau avec une vidéo humoristique où il a recréé la "mentalité d'économie" que de nombreux Cubains nouvellement arrivés aux États-Unis apportent avec eux.

La vidéo, intitulée "Mentalité de nouvel arrivant", dépeint de manière comique les différences culturelles concernant la réutilisation des objets du quotidien.

Dans la scène, le protagoniste, un cubain récemment arrivé, refuse de jeter des objets qu'il considère comme précieux, comme les sacs en plastique ou "jabitas", affirmant qu'ils peuvent être utilisés pour "mettre des chaussettes, des sous-vêtements ou les envoyer à Cuba". Quand son ami lui suggère qu'il n'est pas nécessaire de les garder ici, le nouvel arrivant est surpris : "Tu sais combien coûtent des jabitas à Cuba ?"

L'humour continue lorsque le jeune suggère de ne pas jeter une canette vide de café car elle pourrait être utilisée pour stocker du sucre ou de la farine. Cependant, l'un des moments les plus drôles survient lorsque le protagoniste demande à son ami s'il a "un morceau de journal ou de magazine" à utiliser à la place du papier toilette, une habitude très courante sur l'île en raison de la pénurie de produits de base.

Un autre point de la vidéo qui a généré beaucoup de réactions est lorsque le nouvel arrivé avoue qu'au lieu d'acheter de l'eau, il a rempli les bouteilles vides avec de l'eau du robinet : "Comme à Cuba, non ?". Son ami, clairement mieux adapté à la vie aux États-Unis, ne peut s'empêcher d'être surpris.

La vidéo a rapidement résonné parmi les followers de Lil Lemon : "Je garde les javitas et je ne suis pas nouvelle", "100% sans peur de remplir les bouteilles d'eau" ; "Je pensais que j'étais la seule à avoir cette mentalité hahah" ; "Je continue de garder les javitas hahah" ; "On ne nous enlève jamais cette mentalité" ; "Ma mère quand elle est arrivée et même après un an, elle est toujours pareille", ont commenté certains.

Et toi, te sens-tu identifié à l'une de ces coutumes ?