L'ancien président Donald Trump a lancé de vives critiques contre le gouvernement américain actuel et l'a tenu responsable de la situation au Venezuela, affirmant qu'"ils n'auraient jamais dû lever les sanctions contre Maduro".
"La folle Kamala Harris n'aurait jamais dû lever les sanctions pétrolières de Trump contre Maduro", a exprimé dans un post sur son réseau social Truth Social.
Pour le candidat républicain aux élections présidentielles de novembre "!Elle a fait l'une des pires offres de tous les temps ! La folle Kamala a aidé à diriger l'accusation pour libérer le principal blanchisseur d'argent de Maduro et ses deux neveux trafiquants de drogue condamnés en échange d'une promesse manifestement fausse d'élections libres et justes pour le peuple du Venezuela", a-t-il exprimé.
"!Ils n'étaient ni libres ni justes ! Regardez ce qui se passe maintenant : Maduro a vendu son pétrole, s'est réuni avec ses neveux impliqués dans le blanchiment d'argent et les trafiquants de drogue, et le peuple vénézuélien n'a rien", a déploré Trump.
Il a dit que maintenant "le Venezuela est détruit et son peuple merveilleux est en faillite et meurt".
Pendant son mandat, Trump a imposé de sévères sanctions au régime de Nicolás Maduro. Récemment, le gouvernement américain a alléger ces sanctions, permettant au Venezuela de vendre librement son pétrole en échange d'élections équitables.
La relaxation de ces mesures n'a pas été levée même lorsque le chavisme a contesté la candidature de l'opposante María Corina Machado, ce qui indiquait déjà que le processus électoral ne serait pas aussi juste que prétendu.
Le climat politique au Venezuela est devenu plus tendu après la proclamation de Nicolás Maduro en tant que vainqueur des élections présidentielles, une décision fermement rejetée par l'opposition.
Le 29 juillet, le Conseil National Électoral, une autorité chaviste, a annoncé la réélection de Maduro, un résultat qui a immédiatement déclenché des manifestations et un rejet de la part de l'opposition et d'une partie significative de la population.
En attendant, la leader de l'opposition María Corina Machado s'est exprimée lors d'une conférence de presse et a affirmé que le vrai gagnant était Edmundo González : “Nous avons des preuves de la vérité.”
Le décompte de l'opposition montre que Nicolás Maduro a reçu 2,759,256 voix, tandis que González en a obtenu 6,275,182, en gagnant dans tous les états qui composent la nation sud-américaine.
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