Baby Lores s'en prend à Otaola après avoir insinué que son académie de musique est parrainée par la dictature.

"Je ne vais pas te permettre de t'en prendre aux familles, de t'en prendre à mes enfants, de t'en prendre aux parents, tu essaies de détruire un travail de trois ans," a dit le chanteur au présentateur.


Baby Lores s'en est pris à Alexander Otaola et lui a laissé quelques points clairs après que ce dernier, dans l'un de ses programmes, ait insinué que son académie de musique pour enfants ayant des besoins spéciaux est sponsorisée par la dictature cubaine.

Lors d'une interview pour "Destino Tolk", le chanteur cubain a déclaré qu'il se sentait très mécontent et surpris par les déclarations d'Otaola et a précisé qu'il est tout à fait infondé de dire que les millions qui ont été investis dans l'école proviennent du régime cubain.

Lors de l'interview, l'artiste a ajouté qu'Otaola avait tenté d'influencer les parents des enfants en disant qu'à l'école, on les endoctrine, en prenant pour exemple les performances des petits interprétant "Que canten los niños".

"La ignorance ne peut pas aller si loin, ce n'est pas une chanson cubaine, c'est de José Luis Perales, un Espagnol, c'est une chanson mondiale. Ah, qu'à Cuba ils l'avaient utilisée parce que c'était une chanson célèbre, cela ne veut pas dire que c'est une chanson de la dictature. Les dictatures s'approprient beaucoup de choses", a affirmé Baby Lores.

Le musicien a ajouté qu'Otaola a essayé de manipuler en disant que dans “notre école, nous utilisons la musique pour endoctriner les enfants et leur inculquer le communisme (…) Je ne te permettrais pas de t'en prendre aux familles, de t'en prendre à mes enfants, de t'en prendre aux parents, tu essayes de détruire un travail de trois ans (…) Je ne te permettrais pas de tenter d’envoyer du poison aux gens pour dire une si grande falsité.”

Baby Lores a expliqué que l'argent qu'il a investi dans son académie provient des fruits de sa carrière dans la musique : « Je ne vis pas du concert d'aujourd'hui, je vis de ma carrière (...) L'argent de l'école provient entièrement de mon travail, de mes économies, de mes droits d'auteur, de ma carrière d'il y a 20 ans, du sacrifice que nous faisons (...) Cette école pour moi n'est pas une entreprise, c'est un projet de vie. »

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Deneb González

Rédactrice de CiberCuba Divertissement


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