Luis Alberto García félicite sa fille Camila pour son anniversaire.

La poétique félicitation a été accompagnée de photographies de l'acteur avec sa fille quand elle était petite.

Luis Alberto García y su hija Camila © Instagram / luisalbertogarcianovoa
Luis Alberto García et sa fille CamilaPhoto © Instagram / luisalbertogarcianovoa

L'acteur cubain populaire Luis Alberto García Novoa a félicité sa fille Camila García pour son anniversaire, en citant dans son message sur les réseaux sociaux un extrait inoubliable du roman Rayuela, de l'écrivain argentin Julio Cortázar.

« En plan Rayuela », a indiqué l'acteur dans un poste sur Instagram où il a félicité sa fille aînée avec un extrait du célèbre chapitre de ce roman où la Maga parle à son fils, le petit Rocamadour.

“J'ai complètement enfoncé mes orteils, je vais faire éclater mes chaussures si je ne les enlève pas, et je t'aime tellement… YEUX BLEUS… petit dent de fraise, je t'aime tant, nez de sucre, petit arbre, petit cheval en jouet… Ton ANNIVERSAIRE est le mien. Papa”, a écrit Luis Alberto à sa fille.

La poétique félicitation était accompagnée de photographies de l'acteur avec sa fille lorsqu'elle était petite (sur l'une d'elles, il lui noue le foulard de l'école), et la dernière avec Camila adulte, où l'on remarque la ressemblance de ses yeux avec ceux de son père.

“Il y a une chose qui s'appelle le temps, Rocamadour, c'est comme un insecte qui va et vient. Je ne peux pas t'expliquer parce que tu es si petit”, dit la Maga à son bébé dans Rayuela.

Et oui, "le temps passe", dirait Pablo Milanés. Et "le monde n'a plus d'importance si l'on n'a pas la force de continuer à choisir quelque chose de vrai", dirait Cortázar, ou la Maga.

«Je ne peux ni ne veux rester silencieux ou être complice devant des faits lamentables comme celui-ci, et je ne vais pas non plus baisser la tête devant le flot d'injures, d'adjectifs et de noms dénigrants qui ont commencé à apparaître sur les réseaux sociaux et dans des publications gouvernementales faisant référence à ceux qui s'écartent peu ou beaucoup d'une pensée doctrinaire unique qui est censée être obligatoire», a déclaré Luis Alberto en soutien à l'intellectuelle Alina Bárbara López Hernández, récemment expulsée des rangs de l'Union des Écrivains et Artistes de Cuba (UNEAC) pour des raisons politiques.

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