Voici le restaurant que visite Ana de Armas avec son petit ami, le fils de Lis Cuesta, à Madrid

Ana de Armas et Manuel Anido Cuesta dînent dans le restaurant exclusif Numa Pompilio à Madrid.

Cena en Numa Pompilio © Instagram Restaurante Numa Pompilio
Dîner chez Numa PompilioPhoto © Instagram Restaurant Numa Pompilio

Le restaurant Numa Pompilio, situé dans le quartier exclusif de Salamanca à Madrid, a été choisi par l'actrice cubano-espagnole Ana de Armas pour partager un dîner avec son nouveau partenaire, Manuel Anido Cuesta, fils de Lis Cuesta et conseiller du dirigeant Miguel Díaz-Canel.

Ce restaurant appartient au Brésilien Sandro Silva et à l'Asturienne Marta Seco, fondateurs du prestigieux Grupo Paraguas et propriétaires de huit célèbres restaurants à Madrid. L'établissement est reconnu pour sa proposition gastronomique qui allie tradition italienne et influences internationales.

Numa Pompilio est fréquenté par des personnalités influentes et des figures du divertissement. Il a une clientèle choisie qui inclut des célébrités comme l'architecte britannique Norman Foster, qui l'a visité il y a quelques mois.

Le restaurant, décrit comme un oasis au cœur de l'effervescence de Madrid, se distingue par son ambiance unique et sa décoration soignée, avec des éléments importés d'Italie, de New York et de Londres. C'est l'une des destinations privilégiées pour ceux qui recherchent une expérience culinaire de luxe, sans se ruiner pour profiter d'un dîner.

Le menu du restaurant Numa Pompilio propose des plats qui évoquent la cuisine de la Côte Amalfitaine, tels que la calamarata au poulpe bourré, les tagliatelles à la langouste ou la salade de burrata avec tomate Ángel.

Les prix varient entre 60 et 90 euros par personne, en fonction des plats choisis et, surtout, des vins sélectionnés.

La bodega propose plus de 150 références de vins italiens, complétées par des étiquettes internationales en provenance de France, des États-Unis, d'Afrique du Sud et d'autres pays.

Cette fourchette de prix fait de Numa Pompilio un endroit réservé. Les ouvriers espagnols peuvent s'y offrir à des occasions spéciales, mais un travailleur cubain ne peut pas se permettre un tel dîner avec le salaire proposé par le gouvernement de Miguel Díaz-Canel.

Pendant que les Cubains amoureux et leurs amis profitaient de cette expérience culinaire, le travailleur moyen sur l'île survit avec un salaire mensuel qui à peine dépasse les 10 euros, au milieu d'une crise économique qui a aggravé la pénurie de nourriture et de produits de première nécessité.

Dans ce contexte, il est surprenant de découvrir que Manuel Anido Cuesta, lié au gouvernement cubain en tant que conseiller politique, puisse se permettre une promenade avec sa petite amie dans des coins exclusifs de Madrid, bien qu'il soit possible qu'elle prenne en charge 100 % des frais.

De toute manière, la déconnexion entre le discours officiel du régime cubain, qui prône l'austérité et le sacrifice, et la vie de luxe des proches du pouvoir est de plus en plus évidente.

Les images de Manuel Anido Cuesta et de sa compagne Ana de Armas se promenant après le dîner dans ce restaurant exclusif soulignent une fois de plus l'hypocrisie du régime, dont les dirigeants et les membres de leur famille profitent de luxes inaccessibles au citoyen ordinaire.

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