Avec 2 000 pesos par semaine, un Cubain affirme qu'il a vécu confortablement au Mexique, en payant le loyer, en achetant de la viande de bœuf, du poulet, des bananes et même en se faisant plaisir. « Je gagnais 2 000 pesos par semaine, ce qui faisait 8 000 par mois. De là, je payais 1 500 de loyer par mois et entre 300 et 500 pesos pour la nourriture par semaine. Avec cela, j'achetais de tout : poulet, steak, viande de bœuf, picadillo, bananes... Tout pour moi et ma femme. C'était vraiment super, monsieur. »
La vidéo a été partagée par l'utilisateur TikTok @es_el_mexicano_wey_07, un Cubain qui a vécu au Mexique avant de s'installer aux États-Unis. Dans son message, il s'adresse particulièrement aux immigrants pour montrer que « avec de l'argent, on peut vivre » au Mexique, à condition de travailler et de bien gérer ses ressources.
Le témoignage, qui a déjà accumulé plus de 1,4 million de vues et 68 500 likes, a suscité un débat sur les réseaux sociaux. De nombreux utilisateurs ont fait écho à son expérience, tandis que d'autres l'ont contestée. « Je vis au Mexique depuis trois ans et je n'envisage pas de partir. Le Mexique est la véritable essence de ce pays », a commenté un Cubain. Pour sa part, une utilisatrice mexicaine a écrit : « J'adore les Cubains, ce sont des personnes merveilleuses. Vous êtes toujours le bienvenu dans mon pays. »
Bien que plusieurs personnes aient applaudi son message optimiste, d'autres l'ont critiqué, mettant en doute ses chiffres. "Où te louaient-ils pour 1 500 pesos ? Parce que moi, je paie 5 000 juste pour le loyer", a écrit quelqu'un. Une autre personne a commenté : "300 ou 500 pesos pour la nourriture par semaine... C'est impossible". Certains ont également souligné que les prix actuels au Mexique ont augmenté, rendant plus difficile d'atteindre la stabilité qu'il décrit.
Cependant, d'autres utilisateurs ont soutenu ses propos et souligné que le secret réside dans le travail. Des commentaires tels que « Au Mexique, si vous aimez travailler, vous pouvez vivre » ; « Ce qui se passe, c'est que vous savez vous gérer » et « Celui qui travaille avec ardeur vit bien, mon frère » ont été parmi les plus fréquents.
Au-delà des opinions, la vidéo a suscité un débat intéressant sur les possibilités de vie au Mexique, en particulier pour les immigrants. Sa conclusion est claire : « Tout est possible, monsieur, tant que l'on travaille et que l'on sait administrer ».
Questions fréquentes sur le coût de la vie pour les immigrants au Mexique
Est-il possible de vivre confortablement au Mexique avec un revenu de 8 000 pesos par mois ?
Selon le témoignage d'un Cubain ayant vécu au Mexique, il est possible de vivre confortablement avec un revenu de 8 000 pesos par mois si les dépenses sont bien gérées. Ce revenu lui a permis de payer un loyer de 1 500 pesos et de consacrer entre 300 et 500 pesos par semaine pour la nourriture, couvrant ainsi ses besoins et quelques plaisirs.
Quel est le prix du loyer mensuel au Mexique selon le témoignage viral ?
Dans la vidéo virale, le Cubain mentionne qu'il payait 1 500 pesos par mois de loyer au Mexique. Cependant, certains internautes ont remis en question ce chiffre, arguant qu'actuellement les loyers sont plus élevés, ce qui indique que les prix peuvent varier considérablement en fonction de l'emplacement et des conditions du marché.
Quelle est la perception des immigrants sur la vie au Mexique ?
La perception des immigrants sur la vie au Mexique est variée. Certains soulignent qu'il est possible de bien vivre en travaillant et en gérant son argent avec soin, tandis que d'autres remettent en question la véracité des faibles coûts mentionnés dans la vidéo virale. Le débat se concentre sur les opportunités et les défis que le Mexique offre aux immigrants.
Quels facteurs les Cubains prennent-ils en compte en comparant la vie au Mexique et à Cuba ?
Les Cubains qui ont vécu dans les deux pays ont souvent tendance à comparer la disponibilité des produits de première nécessité et des services. Ils soulignent qu'au Mexique, ils peuvent accéder à une variété d'aliments et de conforts difficiles à obtenir à Cuba. De plus, ils apprécient la liberté et les opportunités d'emploi qu'ils trouvent au Mexique.
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